Iniciativas francesas sobre el estudio histórico de la geografía escolar

La geografía escolar sigue suscitando el interés de los investigadores. Así lo demuestran dos iniciativas de las que doy cuenta.

Por una parte me refiero al ciclo de  conferencias «Le monde des géographies scolaires» organizado por el seminario «La fabrique de la géographie scolaire» de la Universidad Paris Diderot-Paris 7, cuyo programa detallado está accesible aquí.

Los organizadores –Pascal Clerc, Caroline Leininger-Frézal y Bertrand Plevel-, pretenden confrontar el modelo francés de «historia-geografía-educación cívica» con la enseñanza de la disciplina de la geografía en otras culturas escolares desde una perspectiva de educación comparada. Su intención es profundizar en el conocimiento del lugar de la geografía en los curriculums, y en los objetivos de la enseñanza de esa disciplina, las prácticas didácticas implementadas, los objetos que se privilegian en su enseñanza y la formación de los enseñantes de geografía en diversos países de Europa, América y Asia.

Por tales razones el ciclo está organizado de la siguiente manera:

19 noviembre 2014: Carmen Mínguez García, «L’enseignement de la géographie en Espagne»

10 diciembre 2014: Diana Saavedra López, «La géographie au Chili: un contexte à l’histoire»

21 enero 2015: Philippe Hertig, «La géographie scolaire en Suisse romande: des finalités ambitieuses..mais encore?»

4 febrero 2015: Amin Eskander, «Défis et enjeux de l’enseignement de la géographie en Syrie»

4 marzo 2015: Karl Donert, presidente de EUROGEO, «Enseignement de géographie en Angleterre: challenges, réflexions, organisations et opportunités».

Les cartes de notre enfance

Por otro lado acaba de aparecer el libro de Jacques Scheibling y Caroline Leclerc Les cartes de notre enfance-Atlas Mural Vidal-Lablache, Armand Colin, 2014, 160 p., 29 €. En la sección de comptes-rendus de La Cliothèque de la asociación de Les Clionautes se ha publicado una reseña de Xavier Leroux que transcribo a continuación:

«Lancées à partir de 1885 dans le double but de transmettre l’amour de la patrie et de développer le fond scientifique naturaliste de la géographie de l’époque, les cartes Vidal-Lablache (du nom commercialement adapté du père de la géographie française) ont marqué les esprits de générations d’élèves et d’enseignants.

Le géographe Jacques Scheibling et l’éditrice-historienne Caroline Leclerc reviennent sur l’histoire de ce succès non démenti (800.000 exemplaires furent vendus dès 1920) à l’aide d’une collection privée (celle de Fred Perrin dont les coordonnées sont présentes dans l’ouvrage) regroupant la quasi totalité de ce qui a été publié entre 1885 et 1969.

Divisé en deux parties, le livre s’intéresse à « La France et son empire » mais également aux « Continents ». Les cartes sont reproduites avec grand soin en regard d’une page de texte les commentant.

Les espaces retenus sont souvent traités de manière double pour aborder les aspects naturels (la « carte physique ») et humains (la « carte politique », parfois présente en deux versions pour comparer les évolutions).

Comme l’utilisation passait par l’apprentissage (dont il est rappelé que la pratique fut développée davantage par les inspecteurs et les instituteurs qu’en fonction des préconisations de Vidal), la présence de nombreux toponymes hiérarchisés se perçoit sur bon nombre de cartes.

Ceci étant, cette technique de superpositions des noms présente ses propres limites et certaines cartes demeurent imbitables à l’image de celle de Paris intra-muros qui cherche l’exhaustivité ou mal structurées à l’image de celle sur l’industrie et le commerce de la France qui hiérarchise mal l’information (mais il est là rappelé que le parti pris du cartographe est une donne dont il faut tenir compte et Vidal n’était pas particulièrement porté sur les villes et l’industrie).

En revanche, l’auteur savait soigner le cadrage lorsque cela s’imposait (la carte des canaux se concentre sur une large partie nord de la France) et se rendre pédagogique lorsqu’il était question de visualiser les proportions des espaces (nombreux exemples d’inclusion et de comparaison dans le cartouche : le département d’Alger tient dans la Gironde, la Cochinchine « tient » largement dans la France). Les textes insistent d’ailleurs sur ces points (« L’Europe fait 1/3 de l’Afrique,… 1/4 de l’Asie », « La France tient 18 fois dans l’Europe »).

Une compilation agréable à parcourir qui permettra d’appréhender les évolutions des territoires mais surtout de se rendre compte que ces cartes constituent le reflet d’une époque passée…encore que certaines n’ont toujours pas été décrochées des classes et que les autres trouvent une seconde vie décorative dans le circuit de la vente d’occasion».

Tesis doctoral de Julie McDougall sobre la producción de atlas escolares británicos entre 1870 y 1936

En el repositorio digital de la Universidad de Edimburgo (ERA Edinburgh Research Archive) se puede acceder a la importante tesis doctoral de Julie McDougall «Publishing history  and development of school atlases and British geography, c. 1870-c.1930″

Su abstract es el siguiente:

My concern in this thesis is with the production of British school atlases between 1870 and 1930.

I interpret this particular genre of map and book through the rich resource of the Bartholomew Archive, which holds the business and personal records of the Edinburgh mapmaking firm John Bartholomew & Son.

School atlases were instrumental in the dissemination of geographical knowledge at a time when geographers were moulding their subject’s place in the universities and schools in Britain and in parts of the Empire beyond.

This thesis builds on concepts in the history of the book, the history of the map and archive history in order to gain knowledge about the people and processes through which this particular type of mapbook was produced, moved and used, and to understand how it was bound up in the development of a discipline.

In chapter 1, I outline the main themes of the thesis.

The theoretical and methodological ideas underlying it are reviewed in detail in chapter 2.

Chapter 3 illuminates the themes threading through the following empirical chapters, providing insight into school atlas production through a consideration of Bartholomew’s production ledgers and what these reveal about the nature of geographical publishing.

Interactions between individual atlas producers form the focus of chapter 4, particularly negotiations between publishers, mapmakers, geographers and other professionals over the meaning of ‘author’.

In chapter 5, I go on to address atlas production in relation to the pedagogy of regional geography used in schools and, particularly, its impact on school atlases for pupils in ‘local’ settings across the UK.

This leads in chapter 6 to an interpretation of how this localising of school atlases was adapted to readers’ locations throughout the British Empire.

Questions about readers’ role in the shaping of textual meaning are considered further in chapter 7, which draws on specific instances of producer-reader-atlas interactions to support the argument that reading and reviewing were processes conducted not only, as I show, by readers on the published text but, as I also indicate, they were practices performed by both producers and readers during atlas production.

My findings in this thesis shed light on the publishing history of British school atlases, hitherto largely unexamined by historians of the map and historians of geography, and they contribute to our understanding of the production, movement and use of geographical knowledge in the late nineteenth and early twentieth centuries.

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